の Her beauty in the moonlight overthrew you.

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Citation :: FROM daenery ON elizabetholsen-.tumblr

Ophelia Annabeth Amélia Banks

∞ PRÉNOM : La jolie blonde possède plus de trois prénoms, les deux premiers lui viennent des femmes importantes de sa vie. Annabeth est un héritage de sa grand mère maternelle dont elle était très proche dans sa jeunesse. Amélia lui vient de sa grand mère paternelle. Et Ophelia est contrairement de ces deux autres prénoms, un hommage au personnage shakespearien de l’œuvre d'Hamlet. ∞ NOM : Banks, un nom qui se fait plus rare au Etats Unis, respirant les accents d'eau salé de Grande Bretagne. ∞ ÂGE : 22 ans depuis le début du mois. ∞ ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE : auteur de livres fantastique depuis peu. La jolie Ophelia a toujours eu un don pour l'écriture et elle a toujours rêvé de publier ses œuvres, et c'est chose faîte à ce jour.∞ SITUATION AMOUREUSE : célibataire, cœur désespéré à prendre. ∞ TRAITS DE CARACTÈRE : douce, généreuse, patiente, tête de mules, perfectionniste, organisée ou pas (cela dépend du domaine), réservée, rêveuse, maladroite, prévenante, étourdie, autonome, fleur bleue, un peu fofolle, très créative (surement un peu trop), manque de confiance en elle. ∞ AIME : la littérature, la mythologie grec, les fraises, l'odeur de la mer, les orchidées, surtout les blanches, les pâtisseries en tout genre, les dessins animés/manga où on parle d'amour, les câlins, les bisous sur le nez, les oiseaux surtout les mandarins, les couchés de soleils, le bruit de sa plume sur le papier, l'odeur de l'encre fraîche, l'odeur de l'herbe fraichement coupée. ∞ AIME PAS : les chats, les légumes verts sauf les petits pois, le son strident du réveil le matin, les bruits incessants des voitures dans la rue, la technologie (enfin c'est plus l'inverse le plus souvent), l'alcool, l'injustice, les pleures des enfants dans les centres commerciaux, les centres commerciaux, les mensonges aux enfants, qu'on la prenne en photo, les messes basses, les endroits sous terres, les endroits clos, l'odeur de l'essence, l'odeur de la friture, les citrons, les pamplemousses, la nourriture faite entièrement de plantes, la cruauté des félins sur les pauvres petits volatiles. ∞ GROUPE : eaten by whale.

when the fog rolls in

QUE VEUT DIRE MENTIR POUR TOI ? Le mensonge n’est-il pas puni par la loi ? Voilà ce que vous répondrez Ophélia si vous lui demandez. Elle ne parle jamais à proprement parler des mensonges, car elle a été bernée durant son enfance par un mensonge. Pour elle le mensonge c’est caché des choses qui changent la vie d’une personne. Les petites cachoteries du style « X a fini le paquet de dragibus mais va pas le dire » elle ne les considère pas comme un mensonge. Ne pas dire les choses car on ne lui demande pas n’est pas un mensonge, selon elle. RACONTE MOI QUELQUE CHOSE DE PERSONNEL : Ophelia est une collectionneuse de littérature, elle possède une collection d’ouvrages dédicacés. Elle a besoin d’aller au contact des auteurs (surtout fantastique) qu’elle lit. Elle ne rate sous aucun prétexte, ou presque, un évènement littéraire (salon, festival, séances de dédicaces privées). Elle a ce besoin d’échanger avec des personnes qui partage sa passion et son métier, leur point de vue sur tel ou tel élément récurrents dans ce genre de littérature. Elle est tellement accroc qu’elle va plus loin et possède dans son bureau chez elle plus de 50 statuettes de dragons noirs. Dans sa chambre plus de 30 statuettes/bibelots d’elfes, fées, nains, chevaliers en tout genre. DE QUOI TU AS PEUR ? Miss Banks a peur d’énormément de choses, la question la plus judicieuse serait de lui demander de quoi elle n’a pas peur. Ses plus grandes peur reste tout de même : L’orage, la belle ne comprend pas (malgré le fait qu’on lui ait expliqué tout ça de manière très scientifique) coups de tonnerre qui vibre à l’intérieur d’elle, des éclairs qui éclairent ce ciel si gris qu’il donne l’impression de vouloir vous tomber sur la tête. Des escaliers, elle ne peut pas regarder par-dessus une rambarde d’escalier, elle se crispe et tourne de l’œil facilement. Des cambrioleurs, oui c’est ça nouvelle lubie, cette jeune demoiselle vivant seule est tétanisée quand on sonne à la porte (comme si un voleur perdrait son temps à sonner aux portes puis décliner son identité pour enfin ajouter ses intentions et demander la permission d’entrée).. C'EST QUOI TES PÉCHÉS MIGNONS ? Banks a des faiblesses comme toutes les femmes sur la nourriture pâtisseries, glaces, pot de Nutella, mais ce n’est pas ce qui prédomine chez ses pulsions alimentaires. Non elle c’est les bonbons, et les dragibus surtout, particulièrement les bleus. Si elle pouvait elle mangerait tout ce qui a une couleur bleu en fait. Sa spécialité en cuisine c’est ses cookies bleus. Ne vous fiez jamais aux apparences, ses cookies reste les meilleures de sa famille.. QUE PENSES TU DE HANSON BAY ET SES HABITANTS ? Si Ophelia a emménagé à Hanson Bay c’est avant tout car on lui en a dit que du bien. Son « père adoptif » y a vécu durant toute son enfance, car son père était militaire. En plus de cela, une de ses connaissance (à savoir son agent/éditeur) y habite et préférait l’avoir sous la main pour les écris. C’est une ville très calme, et chaleureuse, Ophelia s’est très vite adaptée à la ville, et y a fait de très belles rencontres. Elle ne déménagerait probablement que si on la torture. DIS MOI TOUS TES SECRETS : Les secrets ce n’est pas ce qui caractérise le plus Ophelia, cependant, elle veut rester très discrète sur les relations qu’elle entretient avec sa famille et surtout sa mère. Elle souhaite aussi cacher le fait que son vrai père est devenu un travesti de New York, durant une longue période, après une déchéance professionnelle et personnelle. Elle n’en a pas vraiment honte mais n’aime pas qu’on parle de son père ainsi car elle entretient avec lui une très bonne relation malgré le métier qu’il a pratiqué durant plusieurs années. Elle tait aussi le fait qu’elle est aussi pur qu’une gamine de 18 ans, plus sainte ni touche on ne fait probablement pas.

Spoiler:

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50 ways to say goodbye

une histoire dont on a tous rêvés

L’histoire d’une personne ne devrait pas débuter par je suis née ici à telle date. J’ai toujours trouvé cette manière de se présenter tellement insignifiante, d’un commun ennuyant. Si moi je devais écrire un livre sur ma vie, heureusement pour moi ce n’est pas le cas, j’essayerai d’imaginer le jour de ma naissance, décrirait le visage emplie de joie et d’amour de mes parents, le soleil rayonnant d’un mois de juin. Cependant la vérité est la lubie des gens normaux, qui ont peur de l’imagination. Cela m’ennuis de vous dire aussi simplement que je suis née le 6 juin 1990, en fin d’après-midi, dans les alentours de Glasgow au Royaume-Uni ; de poursuivre en disant que je n’ai vécu là-bas que les quatre premiers mois de ma vie avant de décoller pour Orange en Californie aux Etats-Unis ; puis finir sur un touche de suspense en disant que les seize premières années jusqu’à ce jour ont été les plus belles de ma vie. Probablement vous vous riez de moi, en lisant ses lignes, peut-être vous ne lisez qu’en diagonale car cela n’a pas le moindre intérêt. J’en conscient que ma vie est d’une banalité sans pareil, que je ne peux pas vous captivez avec si peu de chose comme le ferait Dickens en racontant une énième aventure d’Oliver Twist, ou encore Lewis Carroll avec le pays des merveilles dont Alice rêve. Si j’avais eu le choix, j’aurais demandé d’être l’une de ces héroïnes. Même si ce n’était qu’un rôle mineur, du moment que mon personnage avait quelque peu de profondeur et un rôle avec une importance, même minime. J’aurais par le plus beau des hasards, être Alice, vivre De l’autre côté du miroir . Oh oui, cela m’aurait plus quand j’avais atteint l’âge de seize ans, vivre dans un roman m’aurait permis de me dire qu’il y avait une infime possibilité que la fin se termine par le mot bonheur, ou amour.

le mensonge d'une vie signifie bien souvent le changement

Dans une vie, il y a toujours un moment qui arrive sans crier gare. Il arrive et votre vie bascule du tout au tout. Pour moi ce moment est survenu peu de temps avant mon dix-septième anniversaire. Je ne me souviens plus exactement de la raison qui m’a poussé à chercher dans la chambre de mes parents. Je n’avais pas l’intention, je crois, d’être indiscrète ou curieuse. Je me souviens seulement de mettre retrouvée avec cette enveloppe entrouverte qui m’était destiné. Ce n’était pas un geste que je voulais rebelle, j’avais été piqué par la curiosité simplement. Tandis que mes yeux parcourraient les dernières lignes de la feuille manuscrite, ma mère avait fait irruption et me l’avait dérobée. Je l’avais regardé incrédule, et sans méchanceté comme tout ado qui se respecte. Je n’étais pas de ce genre, je n’avais jamais de crise de rébellion, je n’avais pas des problèmes de réclusion, je me sentais libre et j’évoluais dans un milieu qui m’était propice. Cependant à cette époque, mon esprit était plus lent à la réflexion réaliste, il l’est toujours enfin je crois, et je ne pus retenir ces quelque mots qui ont fait blêmir ma pauvre mère. « Est-ce vrai ? » Prise d’une colère noire, ma mère à déchirer la lettre qui était la seule preuve de ce secret. Les paroles qui accompagnèrent le bruit du papier froissé, furent tellement cinglantes que j’ai l’impression de les entendre encore résonner en moi parfois. « Cela ne t’apportera rien Ophelia. Ton père est celui qui t’as élevé et qui se trouve en bas. » Cependant je ne pouvais pas m’en arrêter là, cela semblait tirer d’un roman cette histoire, ce mensonge… « Depuis quand, sait-il pour moi ? L’as-tu aimé ? Et papa il sait ? Et Lizzie, et Sirius… » Une gifle me stoppa net dans ma cascade de question. J’en étais restée tellement interloquer que je n’ai pu dire ce qui venait de se passer à mon frère ainé qui venait de nous surprendre. Jamais ma mère n’avait levé la main sur un de nous trois, mais la douleur me démontrait très bien que ce n’était pas une illusion de mon esprit. Mon frère en était venu à hausser le ton sur elle. Ses paroles me venaient de loin, de trop loin pour que je ne les comprenne sur le moment. Plus tard seulement je compris que plus de monde que je ne l’aurais cru était au courant pour la liaison de ma mère, et pour moi. A ce jour, cela semble tellement évident, quand on me regardait, moi la jolie poupée au teint de neige et aux cheveux couleurs des champs de blé comparé à mon frère et ma sœur tous deux bruns et au teint légèrement hâlé.

un père restera toujours un père malgré ses erreurs et ses échecs

Après cette révélation, j’ai pris mon indépendance après un an à correspondre avec mon père, et après avoir été longuement poussé par mon frère ainé. J’étais partie pour New-York, la grosse pomme n’avait pas été aussi effrayante que cela et la rencontre avec mon père n’avait pas été si catastrophique comme l’avait marmonné ma mère pendant des heures durant les repas en lançant des regards assassins. Je ne lui avais pas pardonné le geste qu’elle avait eu avec mon regard, et mon frère non plus. Je n’étais pas de nature rancunière en temps normal, mais on aurait dit qu’elle faisait tout pour attiser ma colère. Et c’est donc sans vraiment de peine ou de regrets que je suis partie. Je m’étais vite habituée à la ville, moins à la météo. Cela faisait déjà plus d’un an que j’étais à New York quand se produisit probablement le plus beau jour de ma carrière. Je rentrais tout juste d’un petit footing improvisé quand en poussant la porte j’ai découvert mon père en costume se débattant avec ce qui devait être une cravate. J’ai d’abord écarquillé les yeux pour faire ressembler à des balles de ping-pong, et j’ai retiré précautionneusement les écouteurs de mes oreilles, comme si j’étais face à mon père tenant une bombe. « Papa ? » Un pas après l’autre comme si je marchais dans un champ de mine, je m’avançais vers lui. Il se retourna si violement qu’il faillit me gifler avec le revers du tissus aussi moue qu’un serpent. « Ah Ophélia… oups pardon. C’est que je… Enfin ça fait si longtemps. » Les yeux toujours grands ouverts j’entrepris de nouer la cravate soigneusement tandis que mon père se tortiller comme un gosse avec une envie pressante. « Tu m’expliques ? » Il regardait derrière moi comme s’il fixait quelque chose avec concentration. J’eus vite élucidé le mystère en me tournant rapidement et voyant l’horloge qui trônait sur le mur de la cuisine. « J’ai un rendez-vous d’embauche. Enfin ils m’ont appelé tout à l’heure. Le chef du personnel a peu de temps à m’accorder mais c’est un poste à responsabilité. Selon mon CV il pense que je peux retrouver le poste que j’occupais. Tu t’imagines ?! » Mon père se dandinait de plus en plus attrapant ceci ou cela au passage, mais je réussis tout de même à attacher sa cravate avant de lui sourire très fière de mon paternel. « Je suis sûre que tu vas réussir. T’es mon papa ! » Il sembla de suite émue, et j’eus du mal à croire qu’un homme tel que lui avait pu être l’amant d’une femme mariée il y a quelques années. Il me serra tendrement contre lui avant de se précipiter vers l’entrée. Je lui suivis un sourire encré à mes lèvres. « Mais tu sais, si j’ai ce boulot je pourrais bien dire que tu es bien ma fille. » Il me fit un signe du menton pour que je me retourne ce que je fis et découvris une grande enveloppe brune. Je le fixai de nouveau avec une lueur d’excitation dans mon regard. « C’est pas ? » « Félicitation ma chérie. On fêtera ça ce soir, je t’aime. » Et la porte claqua derrière lui. Je me ruai sur l’enveloppe et remarquai en la prenant qu’elle était déjà ouverte. Je ne me posais pas vraiment de savoir qui l’avait ouverte, c’était si évident : papa. J’en sortis le contenu, et je me retrouvai avec un livre dans les mains. Mon livre. Le premier exemplaire. Je me mis à sautiller sur place en criant de joie mais la sonnerie du téléphone me fit descendre de mon nuage, enfin presque. « Ophelia Banks ouiiii ? » « Alors il te plait ? » Je me recommençais à sautiller sur place en entendant cette voix envoutante. « Il est pire que beau !!!! Sérieux c’est le mien ? Non mais t’es sûre que ça va marcher ? On le sort quand. » La voix au bout du fila ria devant mon flot de question. « Tu veux fêter ça ? J’arrive dans dix minutes sois prête ! » La voix fut remplacée par le bip bip strident du combiné. Je reposai ce dernier et me fixai d’un air insatisfait. Bizarrement je ressentais la gêne de me présenter ainsi devant mon éditeur, aussi séduisant qu’il était tout le temps et me dirigeai vers ma chambre. En y rentrant je découvris un carton sur mon lit marqué en gros dessus « A jeter », et aussi avec un mot accrocher dessus de la plume de mon père « Je doute que j’en aurais besoin maintenant. Je ferais tout pour que tu sois fière de moi. Je t’aime. Papa. » Je me mis à rire nerveusement tandis que les larmes dévalèrent mes joues. J’ouvris le carton et y découvris tellement de paillettes que cela m’éblouis. Ses « tenues de travail. » Adieu le papa travesti, bonjour le papa homme d’affaire. J’étais une enfant fière de mon père quoi qu’il pratique. C’était mon père, quoi qu’il puisse arriver.

un nouveau départ, une nouvelle vie...

La sortie de mon premier livre avait bouleversé beaucoup de chose dans ma vie. La première fut que mon travail fut reconnu par des professionnels et par des lecteurs. Il m’arrivait souvent d’être reconnue dans le café du coin de la rue. La seconde fut que m’ont père eut moins de temps à me concentrer avec son nouveau travail et mes heures de travail, que je voulais régulières. La troisième fut que je trouvais maintenant New-York trop vivante et trop bruyant pour écrire. L’écrit de mon premier tome s’était étalé surtout mon premier tome sur toutes mes années d’adolescence et un court moment à New York. Je n’arrivais pas à travailler dans ses conditions et mes écrits s’en faisait ressentir. De plus, mon nouvel éditeur, qui avait acheté les droit de mon second livre et racheter celui du premier à prix d’or, Monsieur Travis Mainfields, enfin Travis, car nous avions vite oublié les « vous » entre nous, n’arrêtait pas de me dire que je me plairais dans sa petite ville au calme. Et j’ai fini par lui donner raison et 6 mois après la première publication de mon tome un, j’ai déménagé à Hanson Bay. Je n’ai trouvé chaussure à mon pied dans l’immobilité de la ville. Même si mon père avait voulu financé la moitié de mon loyer, je logeais dans un petit appartement en plein centre-ville dans l’avenue J.F Kennedy. Malgré les passages de piétons et de voiture, c’était tellement silencieux comparé à New-York. Je ne peux pas dire que je m’y étais vite plu mais ça serait un mensonge. Ce calme apparent m’inquiétait et ne me rassurer guère. J’osai, après une semaine à rester cloitrer chez moi, à sortir le bout de mon nez. Je dois avouer que ironiquement c’est le vide de mes placards qui m’a poussé à sortir muni de mon manuscrit du tome deux. J’ai remercié le bon dieu de n’habiter qu’à deux pas d’un charmant petit café. Je m’y engouffrai lunette mal mise sur le bout du nez et dossier voulant s’échapper de mes bras. Je m’installais à une table de libre, je crus n’avoir que l’embarras du choix, car le café était presque désert. C’était ma chance, les dieux étaient avec moi. Je m’y installai et commanda un thé vert à la menthe. Tout se passait très bien, la boisson chaude bourrée de caféine me faisait le coup après une nuit presque blanche, les idées se bousculaient au portillon, et ma plume grattait rapidement le papier, jusqu’à ce que la tasse se renverse sur mes précieux documents. « Non, gémis-je de désespoir. » Ce n’était pas possible, qu’avais-je fait ? Quel sortilège, ou mauvais œil m’avait frappé. « Travis ! » à ce prénom je me mise à geindre comme une gamine qui se serait écorché le genou en tombant et souffrirait tous les maux de la tête. Travis allait me tuer, les papiers imbibés de la savoureuse boisson étaient les premiers chapitres que je ne lui avais pas envoyés par flemme. « Je suis morte, c’est la fin du monde… Il va me tuer, continuai-je à me plaindre. » J’essayais désespérément d’éponger mes écrits manuscrits avec les pauvres serviettes en papiers que j’avais sous la main. Heureusement une main extérieure et bienveillante se joignit à ma solution vaine. « Tout va bien ?, me demanda un voix bienveillante. » « Je suis finie… c’était les uniques exemplaires. Je ne pourrais jamais réécrire tout cela pour la semaine prochaine… » Une personne pris place sur la banquette en face de moi. C’était une jeune femme à peine plus âgée que moi, sa chevelure brune était relevée dans un chignon négligé, ses yeux verts rivés sur le champ de bataille qui s’étendait devant nous. « Journaliste ? Questionna-t-elle avec un demi-sourire compatissant. » « Ecrivaine, me lamentais-je en soulevant une feuille dont les écrits à peine lisible. Enfin je l’étais… » Elle se mit à sourire d’amusement non méchant et attrapa mon second bloc de papier. « Je pense que deux mains de plus ne vous serez pas de refus. » « Mais, commençais-je à protester en regardant autour de nous. » « Ne vous en faites pas il n’y a jamais personne à cette heure, je peux bien prêter main forte à mon unique cliente. Juliet. » Elle me tendit une main et je la saisis en marmonnant mon prénom, légèrement gêner. Les deux heures qui ont suivi, j’avais déballé plus de paroles que je ne l’ai jamais dans une semaine, sur mon second opus. J’avais fait rapidement confiance à cette petite brune au sourire chaleureux. Et à la fin de la matinée j’avais réussi à récupérer l’essentiel de mes papiers perdus. Heureusement Travis n’en su rien et reçu bizarrement toutes les feuilles en ma possession le soir même.

on ne décide jamais de qui on tombe amoureux

« Après cette agréable rencontre, je m’étais habituée à la vie à Hanson Bay. Une vie tranquille, douce, calme sans vagues et sans rebondissement. A ce jour je suis dans l’écriture de mon troisième roman, enfin le troisième opus de ma saga. Je ne sais toujours pas quand ça va se terminer. Mais ma vie me plait comme elle est et je ne voudrais rien y changer. Peut-être vouloir certaines choses que je n’ai pas encore. …» « A quoi penses-tu miss Banks ? » Je sursaute quand le son de la voix de Travis m’arrive comme un chuchotement au creux de mon oreille. Je papillonne des paupières, dévisageant Travis qui feuillette quelque chose. Ce quelque chose en question est simplement mon idérarium (un mot bizarre, étrange, totalement sorti de mon imagination pour appeler mon bloc fait exclusivement de pensée, d’idée, de croquis, de notes en tout genre) « Travis ! Rends-moi ça. Ne lis pas ! » S’engage alors une petite guerre, dont le prix et mon idéerarium. Je ne peux le laisser le feuilleter plus longtemps, j’essaye en vain de l’atteindre. « Et pourquoi donc n’aurais-je pas le droit de le lire ? Je suis ton éditeur. » Vous l’aurez remarqué notre relation est passée de professionnelle à presque personnelle. Nous nous sommes liés d’amitié. Il m’aide beaucoup à m’épanouir dans mon écriture, il est toujours là pour m’encourager, me remotiver, ou encore me soumettre quelques idées quand je crois être en panne d’inspiration. On peut facilement dire qu’il m’est indispensable, et fort heureusement cela ne semble pas trop l’ennuyer car il ne m’a encore jamais traitée de folle quand je l’appelais à deux heure du matin quand je me sentais en mal d’inspiration. C’est le jeune homme le plus conciliant et attentionné que je n’ai jamais rencontré, s’il n’était pas marié… Non mais à quoi je pense moi ! Je lui reprends mon précieux et lui fais les gros yeux. « Qu’il y a-t-il de si précieux et interdit pour que tu me le caches ainsi ? demande-t-il intrigué. » « Tu crois que ça resterait un mystère si je te le révèle ? Lui rétorque-je du tac au tac. » Ma spontanéité me perdra un jour ou l’autre, heureusement pas aujourd’hui. Je n’ai même pas réalisé que tout ce temps où je rêvassais à ma vie, à mon parcours, je griffonnais toutes mes pensées sur ce bouquin sous le regard de Travis. Travis qui me dévisage comme si je venais de récupérer la verrue de la veille sorcière dans les contes de Grimm. « Qu’est-ce qu’il y a ? » Je commence à m’effleurer, de manière qui se veut discrète, ma joue, puis l’autre. Un sourire ses commissures et s’allonge dans l’herbe fraîche. « Tu rougis ! » Je blêmis sous cette révélation et en lâche mon bloc pour cacher mes joues légèrement chaudes de mes mains fraîches. « Non tu divagues ! Reviens sur terres, ici ce n’est pas Drakar. » Je me cache alors mon visage entre mes mains alors qu’il rit aux éclats. Il adore rire, j’aime son rire, même quand il se joue de moi. Je souris de manière très gênée, mais d’amusement aussi et émets un rire plutôt nerveux. J’entrebâille mes doigts et le fixe. Lui me regarde du coin de l’œil en souriant. Je ne sais plus ou me mettre et quand je décide de me lever je reverse, le pauvre thermos qui était resté ouvert. Me voilà ma jupe blanche tachée et mouillée de thé vert à la menthe froid heureusement. Il me regarda et se retiens de rire. Je le sais car ses lèvres frémissent d’une envie de rire. Je détourne le regard mal à l’aise mais je crois apercevoir sa main s’approcher de ma joue. Je vais pour tourner quand un bruit strident m’interrompt, ou nous, ou plus moi. Il décroche. Sa voix se fait monotone, son visage a perdu toutes belles expressions de joie et d’amusement. Il soupire en raccrochant et m’offre ce même sourire désolée quand il doit me quitter. Je me sens mal, je n’aime pas cette sensation. Puis mon cerveau fait défiler des dizaines de choses à la suite qui requière de la présence, de l’avis de Travis. C’est comme si le temps passé avec lui avait était encore plus court que le précédent et je n’ai pu lui demander ce que je devais. Il dépose alors deux légers baisers sur mes joues, et sens la chaleur me monter aux pommettes tandis qu’il s’éloigne. Ma bouche n’a pu articuler quoi que ce soit. Je l’ai regardé s’éloigner et voilà tout…

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bon courage pour ta présentation. I love you

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bienvenue et bon courage pour la fiche I love you

BIENVENUE, Elizabeth est superbe, je te la réserve pour trois jours I love you

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche

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Merci beaucoup à vous tous. Que du joli monde LIVELY + DAW + BUSH + SAMUEL の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3978643748

の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3906626498

Merci Juliet の Her beauty in the moonlight overthrew you. 388342071

Je me lance dans une quête au lien pour étoffer ma petite Ophélia si cela vous dit, ma boîte à MP est grande ouverte の Her beauty in the moonlight overthrew you. 388342071

の Her beauty in the moonlight overthrew you. 687739079

OLSEN

の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3183675940

Bienvenue ici I love you

Bienvenue avec la splendide Elizabeth ! *O*

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BIENVENUE & bon courage I love you

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Bienvenue et elizabeth est un superbe choix の Her beauty in the moonlight overthrew you. 687739079

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Bienvenue. I love you

Lizzie olsen の Her beauty in the moonlight overthrew you. 687739079

の Her beauty in the moonlight overthrew you. 1598226751

excellent choix :)
bienvenue ^^

Banks c'est le nom de famille, de la famille dans Mary Poppins I love you

Invité

Han l'accueil que vous me faites の Her beauty in the moonlight overthrew you. 822774045

Merci vraiment の Her beauty in the moonlight overthrew you. 388342071

Nala mais je te retourne le compliment smiley car AGRON の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3183675940

Merci
Prim' (je peux?) Merci et que dire de Nina? の Her beauty in the moonlight overthrew you. 388342071

の Her beauty in the moonlight overthrew you. 1719561308

Pippa, TROIAN ce qu'elle est belle cette fille. Merci vraiment の Her beauty in the moonlight overthrew you. 687739079

Séamus, garret THE MAN の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3265981769

le monsieur que je voulais pour mon scénario の Her beauty in the moonlight overthrew you. 13909970

(c'est pas un reproche hein の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3894733800

)

comment il est trop beau sur le vava que tu abordes の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3183675940

je m'en remets pas. Merci toi の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3183675940

Manoé garfield の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3978643748

non mais ce mec avec son côté garçon maladroit me fait trop fondre の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3978643748

Merci beaucoup
Phoebe SHELLEY の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3906626498

T'es obligée de me réserver un lien juste car tu as SHELLEY !!!! Je l'aime cette fille elle est si mignonne の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3906626498

Merci belle brune の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3978643748

Juliet MAIS OUI の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3906626498

quelqu'un l'a remarqué の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3906626498

(et j'en suis fière en plus の Her beauty in the moonlight overthrew you. 2306309830

) Non mais j'ai vu le film y'a quelques jours et je me suis dite (au moins personne me le prendra celui là の Her beauty in the moonlight overthrew you. 13909970

)

Ophelia Banks a écrit:: Phoebe SHELLEY T'es obligée de me réserver un lien juste car tu as SHELLEY !!!! Je l'aime cette fille elle est si mignonne Merci belle brune

Oh avec plaisir pour le lien!! Lizzie elle rocks

Non mais je suis fan de Mary Poppins, moi y a pas de soucis I love you

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Invité

Ophé je viendrais te quémander un lien pour me faire pardonner の Her beauty in the moonlight overthrew you. 42599183

en plus tu vends du rêve avec la Olsen の Her beauty in the moonlight overthrew you. 1598226751

Invité

BIENVENUE PARMI NOUS の Her beauty in the moonlight overthrew you. 744883311

Lizzie

Invité

● Phoebe: Et que dire de Shelley on va rockser の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3906626498

● Juliet: Oh une fan de MP, faudra que tu me réserve un lien, comme ça on se trouvera un lien pour que les deux jeune femmes chantent SUPERCALIFRAGILISTIEXPIALEDOCIUS の Her beauty in the moonlight overthrew you. 2306309830

● Merci beaucou Tiago -darren の Her beauty in the moonlight overthrew you. 822774045

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● Séamus Oh oui un lien の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3906626498

の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3017087786

Si tu as déjà une ébauche de lien n'hésite pas の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3978643748

Ma boîte à Mp est grande ouverte.
● Dolly, oh la belle Ashley の Her beauty in the moonlight overthrew you. 822774045

Merci beaucoup.

Juste parce que t'es ma petite femme, je te dis bienvenue aussi je te fooooooort ma fan d'amour

Invité

Mon petit homme -officieusement- の Her beauty in the moonlight overthrew you. 822774045

Merci mon amour tu es le plus beau et le plus parfaite des bienvenue que je puisse avoir の Her beauty in the moonlight overthrew you. 388342071

Je te fort tellement plus mon amour d'idole の Her beauty in the moonlight overthrew you. 744883311

の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3863477503

Invité

Bienvenue croquette en or (oui c'est un surnom :B)
*_* の Her beauty in the moonlight overthrew you. 3906626498

Tu as terminé ?